Alors voilà, l'arrivée en terre africaine a été faite! Premier choc, on descends sur la piste d'atterrissage et il y a déjà des maliens qui accueillent. Wow, les douanes ont aussi été quelques choses. 2 petits kiosques pour 1 gros Boeing de 300 places. Un ordinateur neuf encore emballé se trouve à côté des douaniers qui porte plus de préoccupation à son cellulaire qu'aux papiers qu'il étampe. Passé la douane un malien assis presque par terre me demande mon carnet de vaccination pour voir si je suis vacciné contre la fièvre jaune. Jusqu'à maintenant, l'inquiétude restait élevé puisque je ne repérait personne de Kilabo l'organisme qui m'accueille ici au Mali.Une fois mon sac à dos récupéré, je sors dehors mon finalement m'attendais le directeur de Kilabo. Des québécois avec qui j'ai fait le voyage sont aussi avec le responsable de Kilabo dont je ne me souviens plus le nom. On c'est rendu à la base de Kilabo ou les stagiaires qui arrivent sont accueilli la première semaine. J'ai rencontré Jean-David un autre québécois qui est au Mali depuis maintenant une semaine.
Ma première nuit aura toutefois été longue et pénible. Malgré la fatigue extrême, je n'ai jamais été capable de fermer l'œil avant 4h du matin soit avant le chant de la mosquée. Le stress d'adaptation j'imagine surtout que je devais dormir pour cette première nuit dans un moustiquaire. Jean-David a aussi été malade durant la nuit. Belle accueil! Heureusement, j’ai réussi à dormir.. Jusqu’à 1h de l'après-midi manquant mon rendez-vous avec les gens de l'organisme.
Aujourd'hui, j'ai été me promené un peu dans le quartier. Tout est si différent. Le beat est totalement différent. Si l'Indonésie le beat était smooth c'est rien à voir avec le Mali. Y'a du monde partout en train de prendre le thé, discuter ou vendre des trucs dans la rue.
Alors cette première phase d'adaptation a été moyenne considérant la fatigue et mon état de santé mais j'aime le beat malien et je commence a apprendre le bambara pour communiquer avec le monde car bine que le français soit la langue officielle, c'est le bambara qu'on parle partout.
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3 commentaires:
Salut à toi grand ambassadeur québécois en terre sahélienne!
Le récit de ton arrivée en terre africaine m'a rappelé la mienne, la première fois.Quelle extraordinaire sensation! Ce qui est bien, c'est qu'on l'enregistre et qu'on peut la retrouver en soi longtemps après !
Et le moustiquaire! Hi! hi !C'est là que j'y ai rédigé la majeure partie de mes carnets de séjour!Prends bien soin de le replier le matin car la nuit suivante, tu pourrais avoir de la compagnie! Ça surprend parfois; crois-moi !
Que ton séjour en Afrique y laisse une empreinte positive et durable de toi, comme son désert le fera sûrement pour toi. Et souviens-toi que les résultats ne t'appartiennent pas; seul le processus compte!
Bon séjour Francis!
Serge, le prof
La première journée dans un nouveau est ,selon moi, toujours une des plus marquante. Car tu y découvres des odeurs, des pâysages, des moeurs, une culture, une langue, de la nourriture, etc etc.. Bref, tous tes sens sont en constant éveil et ton cerveau est amené à enregistrer des millions de choses en même temps. C'est une ds meilleures sensations qui soit je trouve! Je te souhaite de faire des millions de découvertes, autant sur le Mali que sur toi-même au cours de ton périple! De toute façon, je ne suis aps inquiète du tout pour toi, tu vas surement nous revenir émerveillé!
Bon trip Francis!
Val xoxox
salut a vous serge et valerie, content de voir des commentaires. Oui effectivement, les premiers jours sont pas si faciles quont veut le croire. On check ca l'afrique et on se dit ouais cest bon.. l'atmosphere est correct mais ya toujours des trucs qui saute aux yeux en arrivant. C'est ca la beauté du voyage! :)
jai été me promener seul aujourdhui question de voir un peu le quartier ou je suis présentement. C'est bien de voir les enfants te crier toubabou (blanc) et detre capable de leur repondre quelques mots en bambara.
sinon coté moustiquaire, serge, merci pour les conseils. Mais es-ce moi ou mes pieds et ma tete sont dans le moustiquaire. Les africains sont petits ou quoi mais il me semble que je vais souffrir du complexe du grand gars pogné sur un petit matelas avec un moustiquaire dessus!
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